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Procès Jacques Mesrine
JA2 20H - 03/05/1977 - 02min05s
Début du procès de Jacques MESRINE, ennemi public n°1, qui est amené au Palais de Justice depuis la Prison de Fresnes dans un fourgon blindé et sous bonne garde. En plateau, le journaliste Paul LEFEVRE revient sur les évasions du gangster.
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IT1 13H - 29/05/1978 - 02min15sEvasion Mesrine
IT1 20H - 08/05/1978 - 04min14s
11227 vuesRoger GICQUEL présente les faits. En arrière plan, une photo du Garde des Sceaux, Alain PEYREFITTE, dont R. GICQUEL rapporte la déclaration. Jacques MESRINE a réussi à s'enfuir avec deux complices de la prison de la Santé. L'un des deux détenus, Carman RIVES, a été tué pendant l'évasion. Jacques MESRINE et François BESSE se sont enfuis en arrêtant une voiture. Explications des circonstances de l'évasion sur des photographies et des plans de la prison de la Santé.
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http://www.live2times.com/1978-jacques-mesrine-accorde-une-entrevue-a-paris-match-e--10074/
Stupeur ce matin dans tous les kiosques ! En effet, Paris-Match publie une longue interview de l’homme le plus recherché de France : « Jacques Mesrine retrouvé » titre l’hebdomadaire.
Cette entrevue choc survient après une actualité particulièrement chargé de celui que la police considère comme « l’ennemi public n°1 ». Vous vous souvenez bien sûr de son évasion le 8 mai dernier de la prison de la Santé avec son complice François Besse, puis, on pourrait presque dire dans la foulée, de l’attaque du Casino de Deauville d’où il parvient à s’échapper au nez et à la barbe de la police.
Une vaste opération est alors enclenchée pour attraper les deux hommes en cavale. Plus de trois cents gendarmes, ainsi qu'une section du Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale assistée de policiers de la brigade antigang, sont déployés pour les rechercher. En réponse, Mesrine les ridiculise une fois de plus en braquant la Société Générale du Raincy.
C’est donc recherché avec acharnement par toutes les polices et la gendarmeries de France que Jacques Mesrine accorde cet entretien exceptionnel à la journaliste Isabelle de Wangen, Il y dénonce avec véhémence les QHS (Quartier de Haute Sécurité) et se montre plus menaçant que jamais : « Je ne me rendrai jamais. Le coup de recevoir les flics au champagne, c’est un folklore qui est terminé. Maintenant, c’est la guerre (…). Je tirerai, et tant pis si, malheureusement, il y a des innocents derrière mes balles. »
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